Lors d'affection aigue les petites voies respiratoires (bronchioles) sont par moment rétrécies (bronchospasme) sous l'effet de la contraction des muscles qui les entourent eux memes stimulés par des mécanismes liés à l'allergie. Cela aboutit a un freinage de la circulation de l'air donc à une moindre efficacité respiratoire et à des efforts visiblres de l'extérieur qui miment la pousse et qu'on a longtemps confondu avec l'emphysème. (COPD)
Lors d'affections chroniques des poumons, les fibres élastiques peuvent être endommagées. Les poumons ne peuvent qu'insuffisamment se rétracter et se vider. On peut parfois constater une distension pulmonaire. Pour pouvoir vider ses poumons, le cheval doit faire appel aux muscles de l’abdomen afin de chasser l’excédent d’air emprisonné. Cette affection peut finir par provoquer une hypertrophie des muscles abdominaux, visible sous la forme d'une longue raie diagonale le long de l’abdomen du cheval ou «ligne de pousse».